« Pour Jamel Barbach, tout est prétexte à la peinture. Avec humour, il s’ appuie sur des images improbables qui finalement ne font que souligner la forte présence du désir de peindre et d’exister. Le caractère futile des sujets aboutit à un résultat pictural qui, lui, n’a rien de futile. Le prétexte à peindre parait dérisoire et semble pourtant nous mener à une plénitude jouissive, une alchimie où le ridicule deviendrait spirituel. »
André Dellaleau
« La peinture me permet de m’exprimer, de m’extérioriser physiquement et spirituellement. Pour moi, c’est elle qui constitue le sujet ; l’image utilisée n’est que le support. Elle n’est qu’une ligne directrice qu’il ne faut pas suivre servilement … notamment au travers du travail par série avec lequel je me remets en question, avec chaque fois, un regard neuf, une lecture différente d’un même thème.
André Dellaleau le voit bien : « le prétexte à peindre paraît dérisoire et semble pourtant nous mener à une plénitude jouissive, une alchimie où le ridicule deviendrait spirituel ». Sans doute, une grande part de l’essence de mes recherches se trouve-t-elle expliquée dans ces quelques mots. Je me considère comme un amoureux de la peinture, cette peinture qui nous parle, nous transcende, nous fait voyager et parfois même rire. »
GRATUIT
à La Boverie.
7 décembre au 31 janvier 2018.
Vernissage le 6 décembre à 18h